Chronique « Shiatsu et Cancer »
Auteur : Publié le 01/04/2021 à 15h02 -Peut-on conjuguer l'exercice du shiatsu avec certaines maladies profondes comme le cancer ? La célèbre association anglaise « Cancer Research United Kingdom » précise bien qu'il n’existe aucune preuve scientifique que le shiatsu peut guérir ou prévenir le cancer. Cependant, certaines personnes atteintes de la maladie disent que le shiatsu les aide à mieux faire face à leur cancer et son traitement, car il aide à contrôler les symptômes et les effets secondaires tels que le manque d’appétit, les problèmes de sommeil, les douleurs et la mauvaise humeur. Après une séance shiatsu, ils se sentent très détendus et ont des niveaux d’énergie plus élevés. Qu'en est-il vraiment ?
Il est couramment enseigné dans les écoles françaises de shiatsu que des personnes ayant certains symptômes ou maladies spécifiques ne doivent pas recevoir de shiatsu. On note parmi ces interdits les personnes avec un cancer (quel que soit le type).
Alors que de nombreuses précautions sont à connaître pour différents symptômes et populations, le shiatsu pourrait s'avèrer être un formidable outil d'aide et complémentaire à la médecine conventionnelle dans la gestion des cancers.
Pourtant ce sujet reste délicat voire tabou dans le monde enseignant le shiatsu et dans la sphère médicale officielle.
Pourquoi ces points d’attention et de vigilance ?
Le cancer dans le contexte médical actuel
Le cancer est sans nul doute l’une des maladies les plus redoutées dans nos sociétés. Il est qualifié de maladie de civilisation. C’est la première cause de décès avant l’âge de 65 ans dans des pays comme le Canada ou la France. Il existe plus d’une centaine de variétés de cancer, ou tumeur maligne, qui peuvent se loger dans différents tissus et organes. Le cancer est une prolifération anarchique de cellules. Certaines cellules, pour des raisons que l’on ignore, se multiplient de façon exagérée et non contrôlée dans une zone ou plusieurs zones du corps.
Les causes du cancer sont vraisemblablement multifactorielles : habitudes de vie, tabagisme, alimentation, stress, environnement pollué, etc. Il est d'ailleurs intéressant de souligner que des animaux font parfois les mêmes cancers que les hommes dont ils partagent un environnement commun !
Lors de leur prolifération, certaines cellules cancéreuses envahissent les tissus environnants ou se détachent de la tumeur d’origine et migrent vers d’autres régions du corps. Ce sont les « métastases ». Chaque type de cancer a ses caractéristiques et ses propres facteurs de risque.
Dans le monde médical, trois approches thérapeutiques sont possibles :
- Curative, qui vise à guérir le cancer,
- Adjuvante, qui est donné en parallèle au traitement principal,
- Palliative, qui vise à soulager les symptômes ou à prolonger la durée de vie, lorsque les chances de guérison sont très faibles.
Parmi les traitements médicaux, les principaux sont :
- La chirurgie : extraction de la tumeur par chirurgie,
- La radiothérapie : rayons ionisants pour détruire des cellules cancéreuses,
- La chimiothérapie : injection ou comprimés pour tuer les cellules malades,
- L'hormonothérapie,
- L’immunothérapie.
Est-ce que l'on peut faire du shiatsu sur une personne atteinte d'un cancer ?
Rappelons d'abord que l'une des actions du shiatsu est de stimuler.
Que stimule-t-il dans le corps humain ?
Le shiatsu stimule principalement la circulation des fluides corporels.
Ceux-ci regroupent l'influx nerveux, le sang, les sécrétions et la lymphe qui alimentent les tissus conjonctifs et assurent l'élimination des déchets produits. Cette circulation permet le transport des cellules.
Ainsi, le shiatsu stimule le système circulatoire constitué d'artères, de veines, de vaisseaux lymphatiques.
Les pressions digitales sur les bras et les jambes intensifient par exemple le retour du sang veineux vers le cœur.
Le shiatsu stimule d'une manière plus globale la circulation des liquides, de l'eau, de l'air et « des énergies ». L'usage du mot énergie est en soi un problème un frein sémantique à la compréhension et une source de confusion à part entière.
Voir une vidéo sur la respiration cellulaire avec le glucose et le dioxygène comme énergies du corps humain :
© Réseau Canopé
Beaucoup de traitements contre le cancer produisent des effets secondaires.
Le « massage oncologique » attire l’attention dans le but de soulager ces symptômes.
Or il existe une polémique toujours d'actuliaté sur les risques (ou contre-indication) que le shiatsu puisse stimuler involontairement la prolifération des cellules cancéreuses.
Un massage peut-il propager un cancer ?
Les connaissances médicales ont évolué dans ce domaine. On a longtemps pensé que le massage (on parle ici de massage médical notamment de physiothérapie ou de masso-kinésithérapie pour la France) qui améliorait le flux sanguin et le flux lymphatique pouvait véhiculer les cellules cancéreuses et donc la maladie. Il subsiste des points de vues divergents dans le monde médical sur ce sujet. Certains hôpitaux et cliniques, que ce soient en France ou au Japon, développent l'usage des massages pour leurs patients, d'autres chefs de service et médecins restent plus réservés sur cette question.
Pourtant de nouvelles recherches ont révélé qu'une formation en massage oncologique spécifique et beaucoup d’expérience clinique réduisaient les risques des massages et surtout qu'ils augmentaient leur efficacité.
Le massage ne peut évidemment pas traiter le cancer lui-même mais il pourrait dans certains cas soulager les symptômes physiques et mentaux causés par le cancer.
Le massage pourrait également réduire les symptômes tels que les effets secondaires de la chimiothérapie et de la radiothérapie, la douleur et les nausées après la chirurgie, la douleur et la fatigue dans les muscles et les articulations, l’anxiété et la dépression.
« L’American Cancer Society » préconise que les massages soient effectués par des personnes ayant reçu une formation spécifique pour les interventions sur des patients atteints de cancer.
Pouvons-nous appliquer cette méthodologie aux praticiens en shiatsu qui ne sont pas reconnus par les institutions médicales françaises ou européennes ?
Il s’agit de pratiquer avant-tout le massage en toute sécurité, en notant les indications et les contre-indications aux symptômes du patient, le contenu de la procédure, le temps, la durée, les métastases à l’os et les réactions cutanées par exemple. Masser en plus du contact physique avec les patients atteints de cancer peut aider à créer des liens entre le thérapeute et le patient.
La famille et les amis réalisant des massages peuvent aussi rendre le patient psychologiquement plus fort et l'aider à se détendre.
Les massages sont donc fortement recommandés. Certaines techniques précises de shiatsu en font a priori parties.
Que nous dit la littérature scientifique ?
Le shiatsu en préventif :
Le magazine anglais « Santé - Health » de juillet 2016 notait parmi les exercices destinés à prévenir le cancer l'importance de l'alimentation et des pratiques alternatives comme le shiatsu.
Les observations montrent que le shiatsu a des résultats probants en terme de prévention.
Le shiatsu en accompagnement :
Parmi les études scientifiques sur le sujet, on peut noter l'article publié dans le magazine « Kinésithérapie » par Dominique Chevalier l'actuel Président de la Fédération Française de Shiatsu Traditionnel en février 2007.
Article : « Intérêt du Shiatsu chez des patients cancéreux traités par chimiothérapie », Dominique Chevalier, France Lire l'étude complète en français (2007)
Avant 2007, nous avons diverses publications japonaises comme celles dans la revue « Soins infirmiers - Rinsho» « les Effets du massage, du shiatsu ou de la combinaison de soins analgésiques sur la douleur cancéreuse » Kiyoko Fukai, Japon en 2002.
Depuis, plusieurs études internationales ont montré l'apport du shiatsu dans le cadre des effets secondaires de la maladie et en soins palliatifs.
Article : « Le shiatsu comme traitement complémentaire pour soutenir les patients atteints de cancer », Oz Argash, Opher Caspi, Israël (2008)
Résumé : Au cours des dernières années, il y a eu une augmentation de l’intérêt des patients atteints de cancer à recevoir des thérapies médicamenteuses complémentaires comme mesures de soutien pour guérir la maladie. En réponse, des unités médicales qui combinent la médecine conventionnelle et complémentaire (médecine intégrative) ont été établies dans les principaux centres de cancér cancer dans le monde entier. En Israël, une unité spéciale de médecine intégrative qui combine corps-esprit, médecine chinoise, nutrition, herbes, suppléments et thérapies manuelles (comme le shiatsu) avant, pendant et après les thérapies anticancéreuses conventionnelles a été établie comme partie intégrante du Davidoff Comprehensive Cancer Center en 2006. Shiatsu représente un groupe de techniques thérapeutiques manuelles, y compris l’acupression. Le shiatsu offre aux patients atteints de cancer une méthode non pharmacologique pour soulager les symptômes et améliorer la qualité de vie tout au long de la maladie. La recherche indique que l’acupression est relativement efficace et sans danger pour les symptômes courants liés au cancer tels que les nausées, les vomissements et l’insomnie. D’après notre expérience, le shiatsu est également relativement efficace et sans danger pour d’autres symptômes courants tels que la fatigue, la douleur musculaire et l’insatisfaction de l’image corporelle. Pourtant, il n’existe pas suffisamment de preuves pour délimifier les meilleurs moyens par lesquels le shiatsu et d’autres thérapies manuelles pourraient ou devraient être intégrés dans les soins de routine contre le cancer. Le présent document a pour objet de décrire ce que l’on sait actuellement à ce sujet afin d’appuyer la prise de décisions fondées sur des faits plutôt que sur des mythes et des idées fausses. Nous demandons plus de recherche qui examine l’efficacité et l’innocuité du shiatsu et d’autres thérapies manuelles dans les soins aux patients atteints de cancer.
Article : « Evaluation des traitements Shiatsu pour les patients atteints de cancer et de soins palliatifs » Neil Browne, Philippa Bush, Fernando Cabo Barts Health NHS Trust, Margaret Centre, Whipps Cross University Hospital, Leytonstone, Londres, Royaume-Uni (2018)
Introduction : L'étude a examiné l'efficacité de la thérapie Shiatsu en relation avec la gestion de la santé et les problèmes de bien-être des patients atteints de cancer et de soins palliatifs dans une clinique externe. Méthode : Les patients sont référés au service des thérapies complémentaires pour la prise en charge des symptômes, notamment stress et anxiété, mais aussi d'autres symptômes tels que nausées ou insomnies. Les données ont été collectées suite à l'utilisation du questionnaire de mesure de vos préoccupations et de votre bien-être (MYCaW), qui a été conçu pour évaluer les interventions de soins de soutien. Résultats : Les variations moyennes des scores MYCaW post-intervention étaient très significatives (p <0,001), démontrant des améliorations considérables à la fois de la présentation des symptômes et de la perception du bien-être. Basé sur une signification niveau de 0,05, le test des rangs signés de Wilcoxon et le test t bilatéral ont indiqué que les rangs post-traitement et les moyennes étaient statistiquement significativement plus faibles que les rangs et les moyennes avant le traitement dans les catégories. Conclusion : Les scores d'anxiété, de gestion du stress et de douleur ont été les plus améliorés. Les scores de bien-être se sont également améliorés, en moyenne, de deux points sur l'échelle de Likert. Les patients ont déclaré qu' « être écouté » et « être entendu » étaient des facteurs importants pour décrire comment le Shiatsu les avait aidé.
Article : « Traitement shiatsu pour la douleur des épaules et la restriction de mouvement pour les patients après un cancer du sein » Yukiko Nakamori, Japon (2020)
Résumé : Ce rapport examine le cas d’un patient subissant la mastectomie pectorale de muscle-préservation pour le cancer du sein gauche, qui a été traité pour la réduction de la douleur commune d’épaule et diminution de mouvement utilisant la thérapie de shiatsu. Après traitement, la douleur a été allégée et la gamme de mouvement de l’articulation de l’épaule a été augmenté, ce qui a contribué à améliorer la qualité de vie du patient. Ceci suggère que le traitement de shiatsu combinant la pression de doigt et la mobilisation commune a été efficace en améliorant la flexibilité de la peau, du tissu sous-cutané, et de l’articulation d’épaule.
Au-delà des publications et études scientifiques, il existe plusieurs témoignages de professionnels en shiatsu intervenant dans les services médicaux français.
Voici quelques exemples d'intervention en CHU :
Le shiatsu au chevet des malades du cancer - Montreuil (Le Parisien)
Cancers : Les bienfaits du shiatsu - CHU Poitiers (Blog santé)
Cancer : une parenthèse de douceur - CHU Nantes (L'Actu des CHU)
Par ailleurs, la célèbre association japonaise « Société de lutte contre le cancer » s'appuie depuis quelques années sur des études internationales et des groupements qui utilisent les médecines alternatives et intégratives comme le célèbre « Oasis of Hope » qui consolide les données des travaux de cliniques dans plus de 60 pays.
La recherche sur la médecine alternative et la médecine intégrée est activement menée dans le monde entier en Europe comme en Allemagne ou encore dans la ville mexicaine de Tifana pionnière sur le sujet.
Parmi les thérapies alternatives connues : Thérapie Gelson, Thérapie IPT, Goutte à goutte de vitamine C à haute concentration, Retrill, Thérapie thermique, Thérapie à l’ozone, Thérapie sonophotodynamique, Libération des émotions...
Le shiatsu n'est pas vraiment utilisé (fautes d'intervenants, peu de visibilité, manque d'investissement de la part des organisations nationales fédération..) dans ces études. Mais progressivement des opérations locales sont initiées par des praticiens français ainsi que d'autres professionnels dans le monde qui en font la promotion dans leur région.
Le graphique çi-dessous abonde dans ce sens avec des perspectives intéressantes et fortuites pour l'usage de pratiques alternatives reconnues. En effet, l'histogramme vert correspond au taux de survie dans les 5 ans suivants le cancer (plusieurs typologies) dans les cliniques du réseau hope, le bleu celui des États-Unis (donnée par le National Cancer Institute). Le taux de survie à 5 ans à Oasis of Hope est de 1,5 fois à 4 fois plus élevé que la moyenne américaine.
Quelques précautions d'usage :
Rappelons qu'au Japon, les choses sont assez claires. La médecine alternative est définie par tout ce qui n'est pas la médecine occidentale. Elle se réfère à la médecine orientale ou traditionnelle : médecine chinoise, moxibustion, acupuncture, shiatsu, etc, et même l'Ayurveda de la médecine indienne, ainsi que l’alimentation, la nutrition, l'homéopathie, la chiropratique, la thérapie thermique, etc. On entend par médecine alternative un traitement qui essaie de s'attacher aux causes plutôt qu'aux symptômes. Ces thérapies visent à améliorer le pouvoir naturel de guérison de chaque patient (circulation du fameux Ki ou Qi) et à mieux récupérer de sa maladie.
Le shiatsu reconnu par le Ministère de la Santé comme médecine ou plutôt massage médical (citons les shiatsu Namikoshi et Kurétaké) ne doit pas être utilisé comme traitement à une personne atteinte d'un cancer. Contrairement à des pratiques complémentaires comme l'acupuncture et la moxibustion. Cependant, il existe là-bas également des praticiens spécialisés en shiatsu des méridiens (keiraku shiatsu), basé sur la médecine orientale, non intégrés au système médical conventionnel, qui recoivent des personnes ayant un cancer à différents stades. Ces démarches n'ont pas fait l'objet d'études scientifiques au Japon.
Le contexte législatif et médical français nous invite à respecter plusieurs règles de précaution :
- La première règle de prudence : le praticien débutant ne doit pas faire de shiatsu sans supervision sur une personne vivant une phase évolutive de son cancer c’est-à-dire au stade où sa maladie est en pleine crise et progression. Cependant un praticien shiatsu expérimenté et en pleine responsabilité de ses compétences pourra effectuer un travail de détente musculaire sur le crâne pour les maux de tête et l'insomnie ou sur l'abdomen pour les problèmes digestifs et la perte de l'appétit par exemple, et ce pendant les phases de traitement chimio thérapeutique ou post-traitement médicamenteux.
- La seconde règle de précaution concerne les manœuvres et pressions sur les tumeurs ou métastases et les cicatrices post-opératoires qui sont à proscrire.
- La troisième règle est de ne pas toucher ou seulement avec une grande prudence des points Kinketsu tels RP6, E36, GI4, V67 mais aussi de ne pas stimuler les énergies de la terre, les méridiens (kei) Rate/Pancréas, Estomac et de rester attentif au méridien de la Vessie. Cette précaution qui relève de notions dites énergétiques recueille des avis divergents. Des professionnels en shiatsu indiquent au contraire que l'on peut travailler et stimuler n'importe quel point ou méridien. Certains praticiens en médecine chinoise (professeurs, chercheurs, universitaires) estiment aussi que l'on peut aussi utiliser ces points ou ces méridiens comme outil thérapeutique de l'acupuncture ou du Qi Gong par exemple. Notons que selon la Médecine Chinoise d'où le shiatsu puise sa partie théorique et énergétique, la vessie porte les mémoires ancestrales et purifie l'organisme en évacuant les eaux usées, les toxines, la rate et l'estomac sont quant à eux les "greniers" de l'être humain. Que stocke-t-on dans un grenier ? Historiquement du grain, du sel, plus récemment des vieux objets dont on ne se sert plus, sur le plan psychique des mots, et sur le plan physiologique la rate est l'organe métabolique qui intervient dans la production des substrats corporels et qui gouverne le transport, la transformation et la montée des essences subtiles ou aliments traités par l'estomac qui a normalement une énergie descendante lorsqu'il est en bonne santé. La rate joue donc un rôle majeur dans le transport et la transformation des liquides organiques et participe à la production et régénération des liquides sanguins. Intervenir sur les énergies reste donc un champ d'expérimentation vaste et subtile. Chacun doit alors prendre ses responsabilités quant à la façon de "remuer" les énergies d'une personne vivant une prolifération incessante et incontrôlée de certaines cellules altérées dans des tissus sains de son organisme.
En résumé :
Alors qu'il est utilisé dans d'autres pays européens comme l'Autriche ou la Belgique, l'apport du shiatsu en thérapie complémentaire et en accompagnement à la santé se développe doucement dans les services d'oncologie en France et c'est une bonne nouvelle !
L'oncologie fait d'ailleurs partie des matières abordées dans le programme du Diplôme Universitaire « le Shiatsu dans l’accompagnement à la santé » à Orléans.
Le praticien en shiatsu peut intervenir comme aidant. Il peut accompagner par sa présence bienveillante et son écoute. Il peut épauler par sa posture apaisante. Il peut amener dans le corps du receveur un regain d'énergie et ainsi lutter contre la fatigue.
Enfin, tout élève en shiatsu devra s'adresser aux professionnels de santé compétents pour connaître les protocoles : techniques et points qui peuvent être utilisés.
Vous êtes adhérent à la Société Française du Shiatsu, participez à nos opérations « Soutien aux aidants » : Soutien aux aidants et Cancer - les praticiens shiatsu offrent des soins aux aidants du cancer
Rejoignez la Société Française du Shiatsu et accédez à la plus grande banque mondiale de données sur le shiatsu (publication, étude scientifique) : S'INSCRIRE - se référencer sur l'annuaire des professionnels shiatsu
Sources:
© 法人がんコントロール協会 (Cancer Control Society)
© Association japonaise de lutte contre le cancer
© Oasis of Hope (Alternative Cancer Treatments)
© Société canadienne du cancer
© Anatomie essentielle M.Tedeschi
© Canopé
© Tous droits réservés Shiatsu-France.com
D'autres articles sur la même thématique
- Entretien avec Hitoshi TANIKAWA : où faire une formation en massage japonais par pressions du pied ?
- Entretien avec Hiroshi IWAOKA : échange avec le professeur de shiatsu myo-énergétique
Partager cet article de shiatsu sur : Twitter Facebook Instagram Linkedin Par email